La IIIème République est « l’âge d’or » de La Mure. Cette prospérité est due au charisme du maire d’alors, Alfred Chion-Ducollet. Nous devons à ses mandats : l’école Perouzat, le collège (lycée actuel), la gare, l’hôpital, les lavoirs, les bains publics, l’eau courante, les égouts, l’électricité…
De style néo-renaissance, la monumentalité de l’Hôtel de ville (1891-1892) rivalise avec celle de l’église Notre-Dame, consacrée en 1901. Ces deux monuments évoquent aussi des luttes anticléricales très vives à La Mure.